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Rentré bredouille de son expédition parisienne, Flambeau a tôt fait de se remettre de sa déconvenue en remportant quelques jours après, le tournoi organisé par les « Zombies de Berlin ». Un sacre qui, loin d’être anodin, constituera plutôt un stimulant pour l’abord de cet autre grand défi sportif à Cologne.
Très revanchards, gonflés à bloc, assoiffés et sur-motivés par l’irrésistible désir de laver l’affront parisien, les Flamboyants se retrouvent ainsi au Q.G à 23h30 min et mettent le cap sur Cologne vers 24 h30 sous le regard de M. Ebeny (président de Vétérans de Berlin) venu expressément nous souhaiter bon voyage et bon tournoi.
Vers 6h30, le cortège flamboyant constitué notamment de 4 véhicules se mobilisent sur le parking du stade où se déroulera le tournoi. C’est simultanément avec curiosité que les poulains du duo Bisso-Mourihno découvrent les installations d’une part, et soulagement après presqu’une demi douzaine d’heures de voyage d’autre part.
Complètement trempés dans l’atmosphère de l’enjeu du voyage après quasiment 2 heures de causerie et détente,nous nous dirigeons vers nos vestiaires pour les dernières consignes. Et ce, sous le regard du président Soppo qui n’a cessé de galvaniser le groupe depuis Berlin.
Vêtus de maillots blancs, shorts blancs et bas verts, les Flamboyants, sereins et homogènes foulent l’aire de jeu sur laquelle ils croiseront en levée de rideau la formation de Cologne pour une rencontre qui se soldera logiquement sur le score de parité (0-0).
À défaut de marquer, nous n’encaissons aucun but. Toutefois, la discipline collective est de mise,l’harmonie omniprésente dans le groupe. L’appétit venant en mangeant et la soif s’en allant en buvant, le VFCB n’alignera pratiquement que des victoires: 1-0 face à Stuttgart, Charleroi, Anvers, Liège….
Avec une défense rompue à la tâche et rudement menée par l’époustouflant Thierry,une attaque savamment orchestrée par le phénoménal Joel Tchami autour duquel pivotaient de parts et d’autres Parfait N (très remuant), Gautier (poison pour les adversaires), André (l’énergétique), Bebey (l’infatigable capitaine du tournoi), Saddat (le truand destructeur), Anselme (le régulateur), Placide (l’Oxygène), Napo (l’étincelant capitaine officiel), Ouaschi (le vertigineux), Bisso (le bombardier)….
Fort de notre invincibilité après toutes les rencontres, nous sommes sans surprise aucune sacrés champions sous une atmosphère climatique capricieuse. La pluie s’invitant sporadiquement au spectacle renvoyait à chaque coup les quelques spectateurs présents sous les tentes dressées à cet effet. Il faut tout de même reconnaître que Flambeau a survolé de bout en bout ce tournoi qui en était à sa 3 édition.
L’impressionnante araignée Guy Saker a gardé ses filets pratiquement inviolés grâce à ses nombreuses sorties décisives, sa limpide lecture de jeu et surtout sa rigide, son imperméable voire impénétrable défense guidée Thierry, l’intraitable Dibel, les loyales sentinelles Jean Paul, Simplice et le redoutable Bertrand. Somme toute, les adversaires n’ont concrétisé aucun assaut face à cette séduisante défense confondue à raison au « mur de Berlin »! Si Flambeau a brillé par la maigreur de ses buts, il a cependant séduit par la qualité et la variété de son jeu. Tous les flamboyants sans exception aucune ont participé activement aux batailles sur le terrain: l’engagement, la détermination, l’abnégation, la discipline et surtout le plaisir……Cet état d’esprit et et cette marque d’unité propre à Flambeau permettront d’ailleurs au brave capitaine Napo et ses acolytes de disputer la finale. Comment ne pas saluer à sa juste valeur l’importantissime rôle joué par Soppo et Zozo tout au long de nos rencontres…superviser,remobiliser, recadrer, réorienter, encourager, réguler, calmer, motiver…
La finale nous offrait derechef notre plus coriace adversaire (Düsseldorf) et nous permettait aussi de finir le boulot. La parfaite harmonie entre les 2 coaches était un atout, ajoutée à notre soif de tout rafler
pour garnir au mieux notre musée. Il fallait tout simplement confirmer. Et ce, nonobstant la lourdeur des jambes et l’extrême fatigue corporelle liées à plus de 5 de voyage, 6 matches d’affilés presque sans repos. Encore et encore, on prenait les mêmes,on recommençait avec le même adversaire (un peu plus ressoudé) pour le même score de parité au terme du temps réglementaire (1-1). Les 2 formations après cette partie riche en suspenses allaient logiquement et inéluctablement passer à l’émouvante épreuve des tirs au but. Les flamboyants feront ainsi un sans faute (tous les penalties transformés)…belle série couronnée par l’arrêt ô combien capital,de notre « jojo » Saker! L’adversaire aura donc 2 /4 tirs alors que nous en étions à 4/4 transformés: la messe venait d’être dite.
Déjà sacré champion peu avant la finale, Flambeau décrochait ainsi son 2ème titre du tournoi. Très vite le décor relatif à la remise des trophées est planté, alors que les Flamboyants en liesse, savourent leur sacre hégémonique en portant en triomphe l’homme du tournoi: Guy Saker sous le regard médusé des spectateurs .
Seuls les avertis,amoureux du ballon rond présents ce jour ne seront guère surpris par la performance de Flambeau. Le capitaine Napo recevra notamment les trophées de Champion,de vainqueur de la finale, et la précieuse enveloppe sous l’ovation des spectateurs. Notre « jojo » Saker quant à lui s’en sortira avec le trophée distinctif de meilleur joueur du tournoi.
C’est sous une atmosphère euphorique des Flamboyants, leur hymne chanté à répétition (sous le regard ahuri et admiratif des spectateurs,autres joueurs et organisateurs confondus) que le Mc et représentant du C.O du tournoi mettra fin à cette 3ème édition en reconnaissant le mérite de VFCB… » Nous avons dit qu’il faut montrer l’exemple, c’est ça l’exemple….Flambeau en fait n’est qu’un suivi logique qu’ils ont commencé depuis ce matin.
Affaire à suivre très bientôt à Charleroi (Belgique) et au « tournoi de l’intégration » édition II, Berlin, Pâques 2015.
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